Aujourd’hui, réveil à 7h30. Juno nous a préparé un thé noir avec du « roti » au miel. Un véritable délice, j’en referai en revenant en Europe.
Ensuite, Juno me réquisitionne en cuisine. Je l’aide à préparer le repas de 10h30, et c’est fun : je suis multitâche et coupe des tonnes de légumes, ajoute des épices, transvase dans une poêle, rajoute des ingrédients, fait revenir dans une casserole..tout ça pour le mélange que l’on retrouve dans le bol. La cuisine népalaise est bien plus complexe qu’il n’y paraît.

Après le repas, nous aidons Gopal dans le jardin et enlevons des mauvaises herbes à côté de plusieurs plantes.
Vers 11h, Ellen et moi partons à Pokhara pour visiter un temple (Visite du temple Tal Barahi). Gopal nous conseille plusieurs itinéraires. Nous continuerons de nous occuper des plantes en rentrant !
Nous décidons de passer par des sentiers, et voyons de beaux paysages sur la route. Végétation abondante, vue sur le lac.. le chemin nous permet de nous immerger dans la campagne népalaise. 1h30 plus tard, et plus de 300 marches, nous arrivons à Pokhara où nous passons la journée (Visite de Pokhara ; Visite du temple Tal Barahi).



Un panneau pour un hôtel :
Alors que nous sommes sur le point de repartir, nous nous arrêtons dans un dernier magasin. C’est alors que nous tombons sur Magnus, un danois qui était resté à la ferme de Pramila ! Depuis, il a bien vadrouillé et fait le trek de Punhill. Il s’apprête à partir en Malaisie, et cherche un livre de cuisine népalaise. Rencontre pour le moins inattendue…

Alors que nous lui disons aurevoir, nous tombons sur une autre personne familière : Katelyn – et son copain – qui doivent venir à la même ferme que moi, elle m’en avait parlé lorsqu’on était encore chez Pramila. Quel hasard, encore une fois !
Nous les accompagnons à leur auberge et faisons la route ensemble.
Quand nous arrivons, nous jouons de la musique autour de la table – ukulélé, et instrument local – puis mangeons des « roti » accompagnés des légumes. C’est en train de devenir l’un de mes plats préférés !
Avec deux personnes supplémentaires, il y a une nouvelle dynamique dans la ferme. Qui sait ce que nous ferons demain !